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ais ne vaut-il pas mieux les taire, dans un temps
où
certain humanitarisme verbeux couvre plus d’exactions que jamais le c
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a libération d’un journaliste allemand de gauche.
Où
seront placardées ces affiches ? À Paris. Hitler, plusieurs fois renv
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onne, n’existent réellement qu’à partir du moment
où
l’homme n’existe plus en tant que tel. Que l’homme s’affirme, qu’un s
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’avance à travers cette introduction tortueuse. «
Où
veut-il en venir ? Va-t-il à gauche ? à droite ? Est-il rouge, est-il
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croirait à lire des essais politiques. Aux heures
où
l’on y plonge, la vanité des passions politiques apparaît sous un jou
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s les moins corrompues de l’histoire, mais celles
où
la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dénoncée et battue
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aussi chacun de nous a un destin, dans la mesure
où
chacun de nous possède une raison d’être, quelle qu’elle soit, une se
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ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure
où
nous démissionnons de notre rôle d’hommes responsables et créateurs.
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les mène, ils poussent le monde dans la direction
où
il doit tomber fatalement, si on le laisse tomber. En cela, ils sont
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lculable : l’acte de l’homme. Mais le temps vient
où
les hommes se lassent de théories qui expliquent tout sauf l’essentie
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énètrent jamais dans l’intimité de notre être, là
où
réside le désespoir de l’homme qui ne connaît pas son destin. Après t
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prophètes. Tout homme peut recevoir une vocation,
où
qu’il se trouve, quelles que soient ses capacités. Pour l’un, ce sera
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mment, diraient les psychologues — dans la mesure
où
ils agissent sous l’impulsion d’un absolu17. Je connais plusieurs inc
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même une espèce de… régularité. L’Esprit souffle
où
il veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout incarnation de l
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organisé par le soin des hommes. L’Esprit souffle
où
il veut, nul ne sait où il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par
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hommes. L’Esprit souffle où il veut, nul ne sait
où
il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela, par la Bible. Nous ne l’aur
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n, et qu’il exécute cet ordre18. L’Esprit souffle
où
il veut. Mais lorsqu’il parle à l’un de nous, et que celui qui le reç
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servit de point de départ à Marx dans une époque
où
la bourgeoisie se croyait « spiritualiste » ou « idéaliste » au sens
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ative subsiste encore de nos jours dans la mesure
où
cet état de mensonge subsiste lui-même. Que nous soyons marxistes ou
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sera réalisé que dans quelques siècles peut-être.
Où
donc irons-nous chercher ce marxisme authentique ? Chez Marx ? On y t
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ôtés la préoccupation dite culturelle apparaît là
où
naguère on était surtout occupé à dogmatiser sur le matérialisme plus
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ment du spirituel et de la liberté, dans un monde
où
seules sont admises les valeurs matérielles et quantitatives, figure
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ens et les marxistes croient à une succession, là
où
nous croyons à une simultanéité. Les marxistes croient que l’homme pr
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es irrationnelles, et qui l’ont exploité. (Mais d’
où
vient cet esprit d’exploitation ?) Ils pensent que cet homme dégradé
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nde dans ce rapport originel de l’homme à Dieu, d’
où
découle la relation concrète et humainement bienfaisante que l’Évangi
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nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières
où
l’attend l’espoir éclatant de la révélation. La Croix, signe éternel
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naturelles ; bien plus, elle crée des conflits là
où
l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un c
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e un choix, d’ailleurs humainement impossible, là
où
l’homme naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiques
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ble », dès qu’elle offre aux hommes des synthèses
où
ils trouvent la sécurité, mais qui n’ont pas de vérité27. ⁂ La plus g
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errestres. Il les prend au sérieux dans la mesure
où
il croit : c’est une des conséquences de sa foi que de s’occuper séri
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que de s’occuper sérieusement du sort de la cité
où
s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chrétien
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t nous savons qu’il y faudra de la violence. Mais
où
porter le coup ? qui dénoncer ? au nom de quoi ? La rupture ne pourra
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i ? La rupture ne pourra s’opérer qu’au lieu même
où
la collusion s’est faite. Or elle n’a pas pu se faire entre le christ
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ssaire : la dénonciation d’une imposture, partout
où
la chrétienté, ayant touché ses 30 deniers, voudra parler encore au n
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me ordre. Assez de cette « politique chrétienne »
où
l’on embarque une prétendue foi dans les plus discutables déterminati
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e ; mais l’ordre chrétien, dont certains parlent,
où
est-il aujourd’hui ? Faudrait-il attendre qu’on l’ait trouvé ? 33.
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ns qui n’existent, en réalité, que dans la mesure
où
l’on est décidé à refuser tous les conflits concrets et les décisions
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ains humanistes le nieront. Ils me diront que, là
où
le chrétien parle de salut, eux se bornent à revendiquer le bonheur d
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trait aux conflits naturels. Il vit dans un monde
où
il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales, ni lutte c
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. J’ajoute aussitôt que c’est dans la mesure même
où
je le repousse, que je suis amené à me méfier du communisme. Je ne re
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, c’est simplement pour souligner l’impossibilité
où
nous nous trouvons de « choisir en toute impartialité », comme le veu
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moraliste. Nos actes ne valent que dans la mesure
où
ils sont faits pour Dieu, c’est-à-dire par Dieu. Sinon il suffirait d
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t est promise à ses disciples pour l’instant même
où
ils obéissent au « suivez-moi », meurent au monde, et Le suivent. Les
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e qui est une règle de vie dans le monde, au sens
où
le christianisme est une règle de mort au monde. Et il est temps de v
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. Qu’est-ce que le fascisme ? Dans ce livre
où
je cherche à juger les moyens de la politique du point de vue de ses
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e revient, ici, le souvenir du siècle raisonnable
où
, pour la première fois, dans l’histoire de l’Europe, la passion unita
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plus propres à la naissance du fascisme français.
Où
faut-il se tourner maintenant ? Où chercher la doctrine efficace qui
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isme français. Où faut-il se tourner maintenant ?
Où
chercher la doctrine efficace qui permette de déceler et de combattre
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ains, ensuite l’État au service de ces hommes. Là
où
l’homme veut être total, l’État ne sera jamais totalitaire. 46. C’
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scisme trouve son terrain favorable dans les pays
où
le sens civique a faibli. Je m’excuse d’indiquer d’une manière si som
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venture du parti des Deutsche Christen… À l’heure
où
j’écris, le schisme est imminent entre ces pseudo-protestants et les
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refus devant la consternante misère d’une époque
où
tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son orig
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ollectivistes et des patries personnalistes. Mais
où
sont les motifs de notre choix ? J’en indiquerai trois : 1° La seule
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atérialisme décrit un monde tel qu’on ne voit pas
où
l’acte peut s’y insérer. Comment croire que l’esprit puisse agir sur
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d’ouvriers sur une population de 160 millions, et
où
la bourgeoisie existe à peine en tant que classe, d’ailleurs brimée.
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me a-t-il en France la moindre chance de succès ?
Où
est sa tradition vivante en ce pays ? La violence des communistes fra
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ans la critique de ce désordre : jusqu’à ce point
où
le marxisme, révélant sa vraie nature, apparaît comme un cas privilég
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au bout le courage. Je parle de la foi chrétienne
où
je veux être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mais q
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du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure
où
elle existe en soi et dans sa durée propre, comme un 3e terme, en réa
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XII.Communauté révolutionnaire L’époque
où
nous vivons cherche la paix comme d’autres ont cherché la puissance,
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la rendait humainement impossible au moment même
où
elle l’imposait sur le plan de l’État. On ne le vit pas tout de suite
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un acte. L’homme devient personne dans la mesure
où
il se manifeste concrètement, d’une façon qui lui est particulière, d
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sans artifices de langage : « Voilà, Sire, l’état
où
vous êtes ! » Personne ne tente plus de délivrer le peuple souverain
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revues littéraires deviennent des tribunes libres
où
s’expriment les tendances les plus radicalement opposées… Libéralisme
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Statue du dieu au seuil de la nuit sans histoire
où
tous les hommes en rangs serrés sans fin marcheront sans repos, sans
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s ne meurent bassement de n’en pas mourir. Mais d’
où
vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ? C’est qu’il
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n’a su le définir et fixer son niveau concret. D’
où
sa vitalité et son pouvoir mystique. On dit souvent (surtout les inte
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er d’une telle finesse. Jusqu’au moment toutefois
où
il s’agit de confronter ses coutumes avec son idéal, car rien n’est p
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peine paradoxal, c’est assez normalement humain.
Où
les choses deviennent plus graves, c’est lorsqu’on se met à légiférer
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user par amour, faire scandale sans épiloguer, là
où
il faut, mépriser, admirer. D’une manière générale, elle admire plutô
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. L’homme n’est égal à son humanité totale que là
où
il se montre créateur de lui-même. Non, ce n’est point un « homme nou
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eurer calmes parmi les foules affolées, à l’heure
où
la force efficace n’est plus celle des fusils — qui partent tout seul
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4° « Une révolution est sanglante dans la mesure
où
elle est mal préparée67. » C’est dire que le sang versé par les émeut
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à une espèce de dégradation, dans la mesure même
où
son effort pratique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le mach
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avait pas lieu de prévoir sérieusement le moment
où
, une certaine limite d’absorption étant atteinte, le machinisme dével
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e une possibilité perpétuellement future. Le jour
où
elle a cessé d’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser chôma
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é possible, efficace, pratique, que dans un monde
où
le spirituel détiendra la primauté. ⁂ Voyons maintenant quelles conti
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qui ne scandalise les masses qu’à partir du jour
où
elles constatent que « ça ne rend plus ». Et pour cette seule raison
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ire. Tout a commencé par les philosophes, le jour
où
, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les besoins de leurs
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ation du confort moyen et de la TSF dans un monde
où
le libre divertissement de chacun sera la condition du libre abrutiss
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nt leur commun sens : dans l’actualité de l’être,
où
ils ne seront plus que les temps alternés d’une plénitude joyeusement
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ale que les deux groupes refusent avec rigueur. D’
où
les malentendus, parfois bien réjouissants, qu’ils ont provoqués de t
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: c’est aux racines du mal qu’ils s’attaquent. D’
où
leur force d’entraînement lente et profonde, dont les effets se manif
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oite, à gauche, au centre, peu importe, — partout
où
une résistance avare, inerte, ou platement cynique, donne prise à not
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que formation d’action, sur le plan politique. D’
où
la condamnation, bien entendu, du Parlement. Le Parlement : une dizai
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rne, ces vieilles tyrannies importées d’un Orient
où
l’on savait au moins, même en les adorant, qu’elles se nourrissent du
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rait trop insister sur cette vérité, à une époque
où
l’engouement pour les formes les plus étroites du praticisme va de pa
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pratique l’échec d’une révolution qui ne sait pas
où
elle va. » Cartésienne ou hégélienne, la dialectique sur laquelle se