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mes au monde comme n’étant pas du monde ; dans le
péché
, mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’act
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u martyre, à l’« agonie » entre la Promesse et le
péché
, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que faire donc ?
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hec, si grand qu’il soit n’est rien, en regard du
péché
dont la foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci : quel est le
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e. C’est un homme pour qui tout est accompli : le
péché
, et le salut en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui.
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a perdu la seule force qui le dominait. « Car le
péché
n’est pas le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement
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de Dieu sa source, — et c’est en quoi consiste le
péché
« originel » — il en résulte qu’il ne peut plus se connaître entièrem
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on a priori, fondamentale : l’humanisme, c’est le
péché
même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’hom
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sme, c’est le péché même, si l’on peut définir le
péché
par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour Die
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t les capitalistes. Il est purement symbolique du
péché
d’abord, de l’obéissance à Dieu ensuite. L’épitaphe laïque qu’on voit
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Toute l’histoire des Prophètes lui apprend que le
péché
majeur est celui qui consiste à se servir de Dieu en le servant. L’op