1 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
1 mes au monde comme n’étant pas du monde ; dans le péché , mais comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’act
2 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
2 u martyre, à l’« agonie » entre la Promesse et le péché , entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». ⁂ Que faire donc ?
3 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
3 hec, si grand qu’il soit n’est rien, en regard du péché dont la foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci : quel est le
4 e. C’est un homme pour qui tout est accompli : le péché , et le salut en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui.
4 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
5 a perdu la seule force qui le dominait. « Car le péché n’est pas le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement
5 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
6 de Dieu sa source, — et c’est en quoi consiste le péché « originel » — il en résulte qu’il ne peut plus se connaître entièrem
7 on a priori, fondamentale : l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’hom
8 sme, c’est le péché même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour Die
6 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
9 t les capitalistes. Il est purement symbolique du péché d’abord, de l’obéissance à Dieu ensuite. L’épitaphe laïque qu’on voit
7 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
10 Toute l’histoire des Prophètes lui apprend que le péché majeur est celui qui consiste à se servir de Dieu en le servant. L’op