1 monde se débat dans une crise millénaire dont les périodes dites « prospères » ne sont que les temps de répit, souvent déshonoré

2 i qui se réfugie dans l’Histoire15, qui pense par périodes séculaires, qui rêve et qui, pour comble, se croit seul éveillé et co

3 fixer à cet égard. L’URSS étant encore en pleine période de transition, il est trop facile de rejeter toutes les critiques de

4 core opérée en Russie. Nous ne sommes que dans la période de préparation, qui doit fatalement se « nier » un jour. (Autosuppres

5 ffet, les nouvelles valeurs instituées pendant la période de transition au socialisme ont, d’ores et déjà, une existence concrè

6 geois les plus vilipendés par le marxisme dans sa période critique virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus pla

7 ctrine politique un principe d’actualité, nulle «  période de transition » ne sera capable de l’engendrer. Et si par exemple la

8 On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transition résume à nos yeux toute l’erreur marxiste. Les hégélien

9 tion en URSS, la seconde encore mal dégagée de sa période de gestation doctrinale. Tout le monde sait ce que signifie politique

10 aintenant une mise en ordre. Cela signifie que la période de transition au nouvel état social est dès maintenant inaugurée, à l

11 1899 à l’index 104 en 191970. Durant toute cette période , la courbe de la production poursuit une ascension à peu près parallè

12 prenant pour base l’année la plus favorable de la période précédente, c’est-à-dire 1914, on passe ainsi pour la métallurgie, de

13 des révolutions russe et allemande, la fameuse «  période de transition » nécessairement dictatoriale et étatiste, dont l’équip

14 a doctrine et l’action, nous n’admettons aucune «  période de transition ». À quoi cela peut-il donc correspondre ? Simplement,