1 1934, Politique de la personne. Introduction — 1. L’engagement politique
1 é du citoyen moyen. Le fascisme a montré à nu ces prétentions , mais les États bourgeois n’ont plus guère à lui envier qu’un degré s
2 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
2 qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions . 25. Rencontre curieuse avec Thomas d’Aquin ! Voir en particulier Su
3 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
3 us généreux, plus intégral de ses puissances. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, sur une notion tot
4 ifiées, aux yeux de l’incroyant du moins, que les prétentions du fascisme, fondées sur une notion disciplinaire de l’homme. Le mar
5 sition d’une foi par excellence totalitaire, à la prétention d’un organe qui se veut plus grand que le tout, et qui réclame sa par
4 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
6 marquons toutefois qu’il ne l’est pas plus que la prétention égalitaire. D’autre part, il exprime un espoir fondé sur la réalité h