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istes que l’on vante. Il a considéré la somme des
réussites
et des échecs humains, et sur cette somme, il a porté un jugement san
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autre bien lui a permis de mesurer la vanité des
réussites
ou des échecs humains ; mais c’est un bien qui n’est réel que pour ce
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Le christianisme ne sera jamais justiciable de sa
réussite
ou de son échec terrestre. On peut et on doit dire plus : l’issue ter
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tes. Mais comment nous laisser convaincre par une
réussite
matérielle, temporaire, et d’ailleurs discutable ? C’est l’homme qui
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avons affaire ici à un véritable mysticisme de la
réussite
, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le fondement matéri
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st un mythe. C’est un état vaguement pressenti de
réussite
permanente, un ensemble de facilités matérielles, une assurance contr