1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
1 erstructure du dynamisme matériel. On sait à quel échec conduisit cette théorie, étroitement respectée aux débuts. Trotski fu
2 e révolutionnaire » ou « réalisme socialiste », l’ échec du Plan en tant que tel, dans le domaine littéraire, n’en est pas moi
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
3 par un moins à partis organisés. 47. À preuve l’ échec pratique de l’Action française, qui voulut jouer la carte « nationale
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
4 t le risque personnels. 3° La constatation de cet échec s’impose non seulement à l’observateur étranger que je suis, mais aux
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
5 ais une seule et unique constatation : celle de l’ échec d’une mesure rigoureuse, monumentale, effectivement commune, mais par
6 s prophétiser (à la manière des journalistes) son échec ou sa réussite ; ce n’est pas protester contre les conditions acciden
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
7 ue nos succès nous jugent plus sévèrement que nos échecs . Dans tous les cas, il faut aller plus loin que la plus juste indigna
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
8 . Cette limitation voue l’entreprise humaine à un échec final ; au jugement dernier. En même temps, elle est le ressort de to