1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
1 ais d’avoir refusé de la conduire, et cela sous l’ éternel prétexte invoqué par toutes nos lâchetés : le prétexte de l’impuissan
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
2 aussi nommée arche du témoignage : alliance de l’ Éternel et témoignage de sa volonté. Dans l’Arche sont les Tables de la Loi.
3 pelle à la fois l’origine et la fin du peuple : l’ Éternel Dieu et son service. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu
4 qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’ Éternel , la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle e
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
5 st tendue comme un arc par la passion de servir l’ Éternel , Luther dira, d’un tour proverbial : « Voilà un écrit qui a des pieds
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
6 e d’Israël oublie sa vocation et se détourne de l’ Éternel son Dieu, il perd aussi le sens des noms et bientôt sa langue délire 
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
7 ignorance où on les a tenus de l’incommensurable, éternelle beauté de l’acte qui soudain, tendresse infime ou révolte démente, po
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
8 it aux faux dieux, en tous temps, que pour fuir l’ Éternel . Et je ne leur souhaite pas de revenir en arrière, de revenir par exe
9 t, c’est le refus de l’obéissance instantanée à l’ Éternel . Nous avons lâché la rampe, et désormais l’accélération de notre chut
10 C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel  ; un instant, il se dresse contre les mécanismes de la mort ; un inst
11 utes. Car un acte total, un oui total à l’instant éternel dresserait contre nous l’univers totalement unifié dans le non, — la
12 ptible. Ce n’est pas en notre pouvoir d’étonner l’ Éternel , ni d’inventer quoi que ce soit qu’il n’ait prévu, qu’il n’ait donné,