1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
1 « steenen » (manoirs en pierre), servirent dans l’ armée comme cavaliers, marièrent leurs filles de préférence à des nobles, e
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
2 et mesure commune. On porte l’arche au-devant des armées , dans la guerre, comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usag
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
3 r leur dictature, sa production industrielle, son armée , sa jeunesse, ses métros, et ses diverses « réalisations ». Mais que
4 t la mystique « nationale » qui fit la force de l’ armée du Rhin. Mais surtout Hitler a compris que la mystique la plus puissa
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
5 premier lieu, mais aussi celle qui rassemble une armée , qui trouve l’argent pour payer les soldats. Lorsque nous parlons d’u
6 mande aux soldats. Que cette force disparaisse, l’ armée n’est plus une arme, entre les mains de l’État ou du chef, car les in
7 littéral, qu’un no man’s land. Pareillement, les armées européennes qui sont toutes organisées pour l’offensive et l’agressio
8 s’exerce, soit qu’il s’agisse du commandement des armées , ou de la création géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant
9 ndez-vous chez le dentiste, donner un ordre à une armée , allumer une cigarette… (le signe : etc. convient à cet endroit). Il