1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
1 d’une élite mondaine, tout ahurie qu’on vînt lui démontrer qu’elle ne croyait plus à sa force. D’ailleurs cette élite s’ennuyait
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
2 u’il avait tout d’abord dénoncé, puis qu’il avait démontré nécessaire17 —, devient aux yeux des clercs bourgeois une espèce d’id
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
3 ation ». Dans les deux régimes, on s’efforcera de démontrer que d’autant plus l’individu se sacrifie au Parti, d’autant plus il a
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
4 r de références à des lois ou à des écoles, c’est démontrer que ce point de vue ne se fonde pas dans un élan « arbitraire » de la
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
5 i la démission de la culture tient, comme je l’ai démontré , à son refus d’agir et de se risquer dans les conflits qui existent,
6 er une foule d’exemples d’actes. Je chercherais à démontrer chaque fois que la pensée y joue un rôle décisif, et que c’est elle q
7 nt et non pas à ceux que l’on suppose (sinon pour démontrer qu’ils ne se posent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les phi
8 ession pour la rendre active ! Mais sa forme même démontre ‘que ceux qui l’ont inventée ne se souciaient pas d’action réelle.