1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
1 ou cessent d’exister, la mesure d’une société se détruit d’elle-même, fatalement. C’est le cas présent de la mesure bourgeoise
2 du peuple hébreu. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comblerait trop tôt ou trop humainement la grand
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
3 vaines, serments faux ! » Or, quand la parole se détruit , quand elle n’est plus le don qu’un homme fait à un homme, et qui eng
4 chose de son être, c’est l’amitié humaine qui se détruit . ⁂ Telle est l’inquiétude des masses. Elle n’est pas d’abord matériel
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
5 la sécularisation. Il est d’autres mesures qui se détruisent d’elles-mêmes, malgré toute la fidélité de ceux qui sacrifient leur v
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
6 er ses outils. Non, je ne vais pas demander qu’on détruise les machines et je n’ai pas le moindre mépris pour les balances, surt
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
7 a raison seule ne produit rien. La violence seule détruirait ses produits. La réalité vivante est dans le conflit.) Une pensée ten
8 te qu’aux violents, et quant aux autres, elle les détruit . Si la pensée se refuse à peser, à violenter, elle s’expose à subir s
9 tte distinction comme d’un fait, mais d’un fait à détruire aussitôt qu’on le reconnaît. Le péché abstracteur corrompt de part et
10 me l’oubli. Ainsi de l’idée du bonheur : qu’on la détruise , qu’on la mange et qu’on l’oublie. Ainsi de tant d’autres pensées, d’
11 , mais cette espérance est certaine. Car le temps détruit l’acte, mais l’acte est juge du temps. ⁂ Je suis parti d’une considér
12 bi, qui naît de l’absence d’acte, — et que l’acte détruit . 83. « Le difficile pour un philosophe, ce n’est pas d’arriver le pl