1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
1 tout en souffrant vaguement de se sentir exclu de mystères dont il croit encore qu’ils détiennent les secrets du pouvoir. Cepend
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
2 e par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, humain ou cosmique), cette raison du rationalisme, qui n’e
3 a personne10. La lutte des hommes contre certains mystères despotiques peut être un moment héroïque de notre lutte contre la mor
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
4 ois qu’au fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas en
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
5 les aspects, en éclaircir autant que possible le mystère , en illustrer les conséquences morales. Si la culture refuse d’agir,
6 avec les mains. Or cet acte en définitive est un mystère , le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets,
7 ins. Or cet acte en définitive est un mystère, le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets, mais cela n
8 on mauvaise, mais dans un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre po
9 un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne p
10 e de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne peut l’approcher que par la voie d