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d’autorité. Et pour marquer le point de la durée
où
sa réalité entre en vigueur, je me borne à constater ceci : la révolu
2
: il ne prendra la force d’un destin que le jour
où
nous refuserons de connaître sa vraie nature. Insuffisance de nos
3
vec une amertume voilée de complaisance. Au point
où
nous voici, la seule chose possible, c’est de repartir avec une grand
4
d’une tâche humaine a voulu se hisser au sublime,
où
le siècle bien trop heureux d’être débarrassé de son contrôle, la lai
5
imple question de mots ». Et cela dans des débats
où
, cependant, le sens des mots devrait primer tout autre souci plus méd
6
n, que je voudrais comparer à des vestales ? Mais
où
sont encore ces vestales, gardiennes du sens et de l’usage du discour
7
t problème réel se pose à nous à partir du moment
où
son objet (Dieu, la culture, l’amour, la nation, le travail, etc.) s’
8
ssion : “la gymnastique est de la culture”, voilà
où
nous en sommes. La majeure partie de ce que l’on dit aujourd’hui sur
9
culture qu’elle prétend remplacer. Dans la mesure
où
la culture bourgeoise est liée aujourd’hui aux conditions économiques
10
rse au siècle suivant, c’est-à-dire dès l’instant
où
la bourgeoisie s’établit, triomphante, dans le domaine conquis. La ch
11
e morale conduit au cœur du conflit véritable. Là
où
Marx se contente d’opposer des intérêts contradictoires — ceux des pa
12
e sont les seules qui la provoquent à des combats
où
elle puisse vaincre, où elle puisse se recréer dans le mouvement qui
13
provoquent à des combats où elle puisse vaincre,
où
elle puisse se recréer dans le mouvement qui l’a constituée. Elle fai
14
rvit. Là encore, elle est légitime dans la mesure
où
elle s’ordonne à un idéal plus « humain », j’entends plus favorable a
15
On voit aussi qu’il n’y a vraiment culture que là
où
règne une mesure commune. Car sans mesure il n’est pas de grandeur, n
16
ra l’occasion de saisir d’un coup d’œil l’instant
où
une mesure, pourtant vraie, se corrompt. L’anarchie de notre langage
17
angage révélera l’anarchie spirituelle d’un monde
où
la mesure est morte. Enfin les tentatives de rénovation qui sont en c
18
ocation, et rien que cela, une vocation démesurée
où
il a pris son unique mesure. S’il est vrai qu’un prophète authentique
19
de l’Occident chrétien sera grande dans la mesure
où
elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse
20
sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure
où
la synthèse des deux traditions sera dominée par l’élément biblique.)
21
» — cela condamne la mythologie et la fabulation,
où
les Aryens puisent leur art de tromper et de se satisfaire d’illusion
22
éduction abstraite… » (Renan, op. cit. I, p. 49.)
Où
Renan voit un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité o
23
d’avoir rompue. Les ruines des grandes abbayes d’
où
rayonna la civilisation bénédictine sont un suffisant témoignage des
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forme idolâtrée, c’est-à-dire pure rhétorique — d’
où
son déclin — mais forme encore et convention admise par tous les cler
25
ple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc. D’
où
l’embrouillamini de la politique et des partis, et la confusion meurt
26
vantage de lecteurs durant la période de leur vie
où
paraissaient leurs œuvres capitales. Et je doute qu’un Meyerson soit
27
leurs conseils paraissent obscurs dans la mesure
où
ils se veulent scrupuleux. C’est pourquoi la plupart renoncent à ense
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cent à enseigner au milieu d’une rumeur générale,
où
leurs paroles ne sont plus distinguées du bavardage quotidien. Ils se
29
te encore, elle règne innommée et panique partout
où
l’amitié humaine n’a jamais rien noué, rien engagé, rien sacrifié, là
30
jamais rien noué, rien engagé, rien sacrifié, là
où
elle n’a pas même laissé les traces d’une coutume ancestrale : dans l
31
Kierkegaard. Et nous voici au seuil de ces années
où
le chant séculaire de l’angoisse, après quelques cris rauques de dése
32
e l’URSS est le fait des seules circonstances, là
où
elles sont plus fortes que les hommes. Tantôt on lui attribue des suc
33
Angoissés par la crise occidentale et l’isolement
où
ils se voient ; séduits par certains résultats matériels et même mora
34
é », mais « quelque chose qu’il faut vouloir ». D’
où
l’exaltation emphatique de ce qu’ils appellent la « volonté des homme
35
’ajouterai : de critique méfiante, dans la mesure
où
les jeunes communistes viennent à nous avec cette morgue que l’on dis
36
évolution française aurait à surmonter, et cela d’
où
qu’elle vienne et quoi qu’elle veuille. Le parti national-socialiste
37
servit du « spirituel » pour justifier le mépris
où
l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine marx
38
rstructure, ou de manifestation de décadence. Par
où
l’on voit que la fameuse primauté du matériel n’est nullement un prob
39
n fatales dans le cas des régimes improvisés, par
où
j’entends ceux qui ont commencé par la revendication et la prise du p
40
antage qu’à la création d’une attitude centrale d’
où
la pensée et la main apparaissent organiquement inséparables… (Attitu
41
fort bien exprimée par Rosenberg dans un discours
où
il s’élève avec violence contre toute conception ascétique ou moyenâg
42
e qui n’était que de l’instruction. En Allemagne,
où
la culture a de très fortes racines populaires et où l’élite était bi
43
la culture a de très fortes racines populaires et
où
l’élite était bien plus artiste et bien moins « politique » qu’en Fra
44
litiques qu’il entraînera nécessairement, le jour
où
les contraintes policières se relâcheront. ⁂ Les partisans de l’URSS
45
de nous critiquer, vous en serez bientôt au point
où
nous étions quand la révolution a éclaté. Si au contraire vous essaye
46
s auriez pu faire d’autre. Vous en étiez au point
où
l’homme ayant démissionné, il fallait enregistrer cette démission. Il
47
qu’on avait le droit de la dénoncer…) Mais alors,
où
trouver la vérité totale, la seule qui ait le droit d’être totalitair
48
isse mettre sa foi, certain qu’il y engage tout ?
Où
trouver ce « fondement final » de toute communauté réelle et actuelle
49
les. À la question que je posais tout à l’heure :
où
trouver le fondement final de toute communauté réelle et actuelle ? j
50
’existe vraiment qu’au lieu et à l’instant précis
où
je lui obéis en fait. L’acte de foi n’est donc pas un désir, une nost
51
te de foi est par définition l’instant et le lieu
où
pensée et action se confondent en un seul élan, où la vérité est atte
52
ù pensée et action se confondent en un seul élan,
où
la vérité est attestée par un geste, et le geste sanctionné par la vé
53
alloir décrire. Ce n’est pas une route nationale,
où
l’on puisse marcher en colonne, quatre par quatre ou trois par trois,
54
appel des faits. Considérons les temps, les lieux
où
nous vivons, la situation précise qui nous est faite, et l’appel conc
55
ont elle redoute l’impuissance pratique à l’heure
où
il faudra donner du pain, si l’on veut prendre ou garder le pouvoir.
56
nce, une secrète espérance dans le malheur total,
où
peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on retrouvera
57
tal, où peut-être on touchera de nouveau le réel,
où
peut-être on retrouvera des raisons sérieuses et urgentes, enfin soli
58
lli de la crise, vers une communauté nouvelle. Là
où
cette crise était la plus aiguë, la réponse a été totale, ou tout au
59
se a été totale, ou tout au moins totalitaire. Là
où
depuis cent ans ou plus la nation existait déjà, la crise est bien mo
60
dent à la fois des mesures et du lieu et du temps
où
on les mesure. Seuls donc les groupes de forces ou d’hommes, exacteme
61
ne nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde
où
l’homme s’éprouve de nouveau réel, actif, nécessaire et relié. Tout j
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que crée en nous la ruine de l’individualisme. Là
où
nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette
63
velles : communisme, national-socialisme. Mais là
où
le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions n
64
totalitaire. Elle a pour formule réelle — même là
où
l’on refuse encore ce nom — la fédération, non la masse ; et non la t
65
e nos conditions actuelles, le temps et les lieux
où
j’écris ; mais je les juge dans la perspective du but final, commun à
66
lutte et cette prière jaculatoire, cette lutte d’
où
il sortira peut-être écrasé, et cette prière qu’il parviendra peut-êt
67
nt l’œuvre n’est pas ce lieu de combat sans merci
où
quelque chose qu’il ne peut plus fuir attaque l’auteur et tout ce qu’
68
pour le penseur, et transformatrice du réel. « Là
où
je crée, là je suis vrai », écrivait Rilke. Et c’est pourquoi nous pr
69
, et qu’en ce sens elle est exacte dans la mesure
où
elle provoque. Tournons sa pointe vers un adversaire qui va se désign
70
s’exercer au détriment de la gravité de penser. D’
où
les refus que cette critique ne manque pas de prononcer dès qu’elle f
71
r, mais tout juste ternir de leur empreinte. D’
où
vient l’initiative ? Cependant, ne soyons pas dupe de notre image.
72
en puissance d’action, c’est penser dans l’action
où
l’esprit se voit actuellement compromis et sommé de juger, de choisir
73
avance ou plutôt elle va se jouer dans un domaine
où
ne subsistent plus ni sanctions ni arbitrage ; où chacun peut prétend
74
où ne subsistent plus ni sanctions ni arbitrage ;
où
chacun peut prétendre avoir gagné ; où la victoire de l’un n’est pour
75
rbitrage ; où chacun peut prétendre avoir gagné ;
où
la victoire de l’un n’est pour l’autre que tricherie. J’appelle sanct
76
e jugement de vérité ou d’erreur, dans un domaine
où
quelques vérités fondamentales sont reconnues. Je doute qu’il en exis
77
ur Kant, le sérieux moral est purement formel.) D’
où
l’excessive technicité de leur langage. Avec moins de rigueur bien en
78
a richesse, et le potentiel qu’elle représente. D’
où
l’ascétisme du capitaliste, type Ford ou Stinnes — son affectation de
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subordonnée à l’intensité même de l’expérience. D’
où
l’immanentisme déclaré ou confus qui caractérise cette théologie. Le
80
nt dans une carrière qu’ils savent malfaisante. D’
où
vient qu’une bonne partie des critiques les plus justifiées restent i
81
rrosive qui s’attaque aux secrètes carences. Mais
où
se cache le secret d’une époque ? Apparemment là où personne n’aura l
82
se cache le secret d’une époque ? Apparemment là
où
personne n’aura l’idée d’aller le chercher : dans cette convention la
83
eurs élèves, dans un ordre de choses, on le sait,
où
l’idéal a su se rendre obligatoire : il y a les examens, les concours
84
catesse de nos balances est excessive dans l’état
où
nous sommes. Je veux dire ceci : notre horlogerie intellectuelle, tou
85
e. Cela peut aisément s’expliquer : dans un monde
où
la vérité n’est plus justiciable d’aucune hiérarchie spirituelle reco
86
sage d’une classe restreinte. Mais le temps vient
où
les résistances s’accusent, et gagnent sur l’indifférence. Lorsqu’on
87
appareil qui, d’auxiliaire devient tyran, le jour
où
celui qui l’a fait renonce à tenir les commandes. « Les autres formen
88
ne certaine réalité encore informe et instinctive
où
il ne voit avec méfiance que brutalité, précipitation et naïveté ; vi
89
à vivre sa morale, il n’y aurait plus de morale ;
où
irait-on ! Pourtant l’on parle de morale, il le faut bien, surtout da
90
d’apôtres. Nous voici donc à ce point d’étrangeté
où
l’on oppose la pensée et l’action jusque sur le plan de l’éthique74.
91
rudentes, et deviennent à leur tour des dogmes. D’
où
la mythologie des lois psychologiques, des lois historiques, des lois
92
s le couper des origines et des fins spirituelles
où
réside cette liberté. Mais qu’une doctrine de l’État en vienne à s’at
93
os savants, correspondant au « ils » du peuple (d’
où
cette connivence paradoxale entre les distingués et les primaires). L
94
rté pour autant. Car le danger n’est nullement là
où
le dénonce la frousse des propriétaires ; il est dans l’esprit même d
95
rde largement le plan des controverses politiques
où
le maintient la nervosité partisane ? En vérité, il est grand temps d
96
question réelle, irritante et peut-être féconde.
Où
sont les responsables ? Ce ne sont pas des partis, ce ne sont pas des
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ne au fatalisme, au conformisme, dans l’ignorance
où
on les a tenus de l’incommensurable, éternelle beauté de l’acte qui s
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me faire solidaire de leurs fautes dans l’instant
où
je les dénonce : tous ceux-là participent de la démission permanente
99
rale active. On a perdu la clé de ces systèmes, d’
où
la pédanterie accrue, dogmatique, des conventions. « Ça ne se fait pa
100
e mesure nouvelle, on peut décrire la situation d’
où
le mouvement résulte, ou la fin vers laquelle il tend, mais on ne déc
101
tre histoire le problème global de la culture : d’
où
vient-elle ? — qu’est-elle ? — où va-t-elle ? Si nous persévérons dan
102
la culture : d’où vient-elle ? — qu’est-elle ? —
où
va-t-elle ? Si nous persévérons dans notre état, certaines imitations
103
ésoudre en création. Voilà la grande opposition d’
où
nous partons. Il ne suffit pas de la poser. Il faut en exprimer succe
104
’en réjouir ni d’en gémir, mais de le bien voir —
où
le choix qui nous est imposé n’est plus qu’entre vérités statistiques
105
ontre la philosophie dialectique de l’histoire, d’
où
Marx, Engels et Feuerbach devaient tirer le matérialisme historique,
106
justement l’a priori d’une pensée formatrice, là
où
Montaigne veut réduire la pensée à l’a posteriori d’une récitation de
107
du jugement. Mais il s’agit bien moins de savoir
où
la pensée commence, que de savoir où elle se manifeste réellement, co
108
ns de savoir où la pensée commence, que de savoir
où
elle se manifeste réellement, comme une force qui pèse, et qui pose u
109
tout me devient étranger — tout et moi-même. Car
où
existerai-je si je n’ai plus rien contre quoi je puisse concrètement
110
chez Diderot et Rousseau), toujours par le mépris
où
l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce comple
111
, non seulement dans la politique ou la religion,
où
cela va de soi, mais par exemple dans la poésie. Que la poésie ne soi
112
traire d’aller jusqu’à la fin de leur passion, là
où
l’on touche les vraies bornes de l’homme, la mort, la destruction, l’
113
t, la destruction, l’angoisse et l’isolement ; là
où
la Parole prend un sens, là où le jugement devient la grâce. Le vrai
114
t l’isolement ; là où la Parole prend un sens, là
où
le jugement devient la grâce. Le vrai sérieux de la vie et sa réalité
115
e et sa réalité ne se révèlent à nous qu’au point
où
nous heurtons ces limites extrêmes de notre condition. Mais il nous f
116
à ses « lois », pour se retirer dans une sécurité
où
elle végète et récite ses problèmes inoffensifs. Et pourtant la viole
117
phent qu’à la faveur des lois économiques. Mais d’
où
viennent ces systèmes ? Et qui a fait ces lois, ou qui les a laissées
118
car les insignes du pouvoir ne sont plus rien, là
où
l’autorité défaille, comme le prouve la moindre expérience de command
119
que ou théorique, tout est concret au sens précis
où
j’entends ce mot. Le concret, c’est l’indivision de la pensée et de s
120
s remettons à demain les conclusions pratiques… D’
où
la nécessité d’un parti pris compensateur, d’un certain fanatisme spi
121
l’époque. Il paraît même décroître dans la mesure
où
croît la quantité des discours, des journaux. Ce serait donc le premi
122
e propre, le concret, l’original de notre vie : d’
où
la nécessité de subordonner toutes nos valeurs à cet acte qui constit
123
tend même à tout ce qui l’entoure, dans la mesure
où
il voudrait l’humaniser. Tout être vivant porte le nom qu’Adam lui a
124
ur l’abstraction et le mensonge des mots, partout
où
ils nous ont tentés, et ne cessent de nous tenter. Sous cette forme g
125
vue. Car la pensée qui agit, c’est celle qui sait
où
elle va. Septième vertu : l’imagination En somme, la question d
126
ndonné à sa fantaisie s’effraie soudain des actes
où
elle l’entraîne, et répugne à subir les conditions humiliantes que lu
127
n dans une vision. Certes, penser, c’est partir d’
où
l’on est pour aller où l’on voit qu’il faudrait être. Mais si je dis
128
es, penser, c’est partir d’où l’on est pour aller
où
l’on voit qu’il faudrait être. Mais si je dis que penser, c’est parti
129
estation, le point éblouissant de la métamorphose
où
la mort et vie se confondent dans une nouveauté absolue. L’imaginatio
130
l’esprit, l’imagination et les sens dans un monde
où
certaines conclusions communistes ne peuvent plus rencontrer ni prise
131
e classe. Elles sont dans les mains des hommes, d’
où
qu’ils sortent, qui ont compris que la révolution ne saurait être fai
132
oi, que l’ironie chez lui jaillit au point précis
où
soudain la joie cesse de soutenir son grand lyrisme ; Rimbaud enfin,
133
’éthique qu’elles nous imposent dans la situation
où
nous sommes, peut-être aurons-nous fait ce que devait faire notre gén
134
pronom tu. Découverte bouleversante dans un monde
où
l’égoïsme ne règne plus seulement comme un péché, mais comme une vert
135
de toute décision qui crée, c’est la personne. D’
où
il suit que toute l’agitation du monde n’est rien de plus qu’une cert
136
essée, et qui ne se précise en moi qu’à l’instant
où
elle me contraint à l’acte. Peut-être qu’il est inutile de rien savoi
137
er par une rigidité accrue de la circonférence. D’
où
la nécessité d’une discipline de fer, dont l’expérience militaire fer
138
épare les uns des autres. Et c’est au seul moment
où
je t’atteins en toi, où tu m’atteins en moi, que nous devenons deux p
139
. Et c’est au seul moment où je t’atteins en toi,
où
tu m’atteins en moi, que nous devenons deux personnes, et l’un pour l
140
Et voici le dernier paradoxe : c’est cet instant
où
nous touchons la mort qui recrée notre vie temporelle. Tout aussitôt,
141
le foyer rayonnant, le cœur de la réalité humaine
où
vient retentir l’appel des fins les plus lointaines. Et c’est l’acte
142
78. 82. Selon Einstein « le temps naît du moment
où
il est mesuré » (Brunschvicg). Le temps mathématique naît donc aussi
143
grands mouvements sociaux et politiques, domaine
où
la culture que j’attaque situe l’action, au sens où elle l’entend. Ma
144
la culture que j’attaque situe l’action, au sens
où
elle l’entend. Mais cela m’entraînerait évidemment à une enquête univ
145
est par lui que nous avons connaissance du milieu
où
il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 86. On ne pourra
146
lire ses Lettres pour constater que la « grâce »
où
il baignait ne l’a pas dispensé d’être héroïque. 87. « Murmurer avec
147
c’est parce que l’Europe a exporté sa science là
où
son âme ne rayonnait plus, que le monde se retourne contre elle et la