1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
1 s symptômes morbides. Il faut aller jusqu’à cette pitié corrosive qui s’attaque aux secrètes carences. Mais où se cache le se
2 inon la pâtée. Mais ils riraient, je crois, de ma pitié . On les décore comme devant, les chaires sont là, et les fauteuils so
3 plaindre : car c’est aux hommes qui n’ont plus de pitié , de bonhomie ni de violence — ces trois vertus seront toujours liées 
4 us seront toujours liées — que doit s’adresser la pitié . La pensée sans douleur Cette sobriété méfiante et cette absenc