1 et modestes ; les seconds, des idéalistes, ou des poètes , ou des sages résignés. Ils ont tous en commun ceci : qu’ils paraisse

2 marques de mépris hautain dont se gratifient les poètes , les essayistes et les politiciens modernes, avec une fureur sans exe

3 rs, inquisiteurs et anarchistes. Presque tous les poètes et tous les philosophes poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire

4 . Presque tous les poètes et tous les philosophes poètes , Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud et Nietz

5 e s’agissait que de construire des tracteurs, les poètes du tracteur et ceux qui le conduisaient parlaient naturellement le mê

6 si pauvre. Car une fois le pain assuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme tout entier, non plus seule

7 s périodiques font peu de victimes chez les vrais poètes , mais davantage parmi les lettrés qui seraient tentés de lire de la p

8 se d’homogène, de scientifique. « La mentalité du poète lyrique se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas autre cho

9 t non la mienne de régner sur l’absence », dit un poète . Mais « les autres » ont travaillé pendant ce temps ! Et s’ils ne men

10 uve personne et en dit beaucoup trop pour que les poètes mêmes la prennent au sérieux. C’est pourquoi ils la prennent au tragi

11 ts, Ramuz (Raison d’être, Six cahiers, Passage du poète ). Je voudrais bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je crain