1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
1 ct négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La poésie de l’Occident chrétien sera grande dans la mesure où elle sera bibliq
2 thmé l’action, et vérifié l’étymologie grecque de poésie , qui est agir. Point d’arts figuratifs ou imaginatifs. La loi les int
2 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
3 la haine secrète qu’ils vouent à toute espèce de poésie . (Prenant le mot dans un sens large, d’appréhension directe du réel p
4 rmi les lettrés qui seraient tentés de lire de la poésie . C’est bien une sorte de ressentiment — au sens nietzschéen du terme 
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
5 politiques. Quelques exemples : — on parle de la poésie comme d’une religion ; du peuple comme d’un Messie ; de la liberté co
6 paradis ou d’un enfer. Mais : je constate que la poésie telle que l’entendent beaucoup de jeunes gens ne sauve personne et en
7 gion, où cela va de soi, mais par exemple dans la poésie . Que la poésie ne soit plus uniquement cet angélisme « démoniaque »,
8 a de soi, mais par exemple dans la poésie. Que la poésie ne soit plus uniquement cet angélisme « démoniaque », cette nostalgie
9 ouve que cela fait plus poétique. Il croit que la poésie est dans ce qui ressemble à la poésie, et non pas dans ce qui tient a
10 roit que la poésie est dans ce qui ressemble à la poésie , et non pas dans ce qui tient au réel, souvent « laid ». Et c’est ain