1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
1 main, entre l’individu pensant et toute espèce de responsabilité . Lorsqu’un clerc invoquera cette objectivité qui jouit dans le siècle
2  ! Ils ont recouru aux « lois » pour dégager leur responsabilité , tout comme le peuple recourt au fameux « ils » pour désigner l’auteu
3 isse dans le doute (et l’on s’attire pourtant une responsabilité ) que de simplement prétendre quelque chose. »75 Cette « monstrueuse
4 il s’y conforme. « Et l’on s’attire pourtant une responsabilité . » Il faut bien constater que plusieurs générations — contemporaines
5 dit repose sur notre instinct de fuite devant les responsabilités . Comme si le désordre régnant, ce désordre dont prétendent souffrir c
2 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
6 epter ou pour le refuser : Dieu, mal, souffrance, responsabilité de la pensée, but de la littérature, valeur de l’argent, sens dernier
7 st de permettre à tous les hommes d’assumer leurs responsabilités , c’est-à-dire de devenir des personnes. Telles sont les deux idées po
8 faire simplement abstraction de la tension, de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu considérés d’un point de
9 lle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vide, hors de toutes sanctions comme a