1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
1 la vraie mesure réside d’abord dans la conscience permanente d’une finalité commune à toutes nos œuvres. En second lieu, je dirai
2 et qui pourtant ne porte pas en elle d’efficacité permanente . On pourrait concevoir par exemple une mesure imposée par l’État et q
3 e est la loi de Dieu, elle porte en elle la règle permanente de toute action et de toute pensée. Vraie mesure, donc, et mesure com
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
4 ue-t-il parmi les communistes russes le rôle d’un permanent rappel de la finalité commune à toutes les œuvres tant spirituelles q
5 e, de gré ou de force, le Plan est bien ce rappel permanent des fins dernières conçues par le Parti : l’établissement dans cent a
6 se-t-il réellement le tout de l’homme ? Le rappel permanent , et la conscience actuelle de ce but final, suffisent-ils à animer to
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
7 nom d’un idéal de professeurs. Certain caractère permanent de l’anarchie dans laquelle nous vivons nous rend son examen relative
8 vitupère des doctrines sans dénoncer leur origine permanente dans telle déficience morale, dans tel refus précis dont nous sommes
9 énonce : tous ceux-là participent de la démission permanente de la pensée, de son inactualité, de sa séparation, de sa servitude i
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
10 toujours quelque chose qui remonte à son origine permanente , à l’origine de l’autorité spirituelle. Sixième vertu : d’un certa
11 lisme ? Mais non, tout se renverse ! Car la cause permanente et actuelle de toute répétition du péché primitif, nous pouvons la no