1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleurs dans les jambes, et m’en parle d’ab
2 . Sentiment qu’il y a là quelque absurdité, et si énorme que personne ne pense à la dire… Peut-être, dans un siècle ou deux, s
3 la première fois que je parle ici, c’est déjà un énorme succès. Pensez donc, il y a plus de six ans que je suis dans l’île, e
4 e. Je leur parlai pendant deux heures d’un pays d’ énormes plaines, sans barrières ni haies, sans chemins creux et sans secrets,
5 tennes grenat. Un jour nous avons pris une seiche énorme , de celles que les gens de l’île mangent (ils les coupent dans la lon
6 en temps la poule trouvait un ver au fond du trou énorme qu’elle creusait, et les petits se précipitaient à son caquet. Je sui
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
7 ides au-dessus du bassin bleu de ciel où nagent d’ énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa densité, sa légèret
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
8 eur de planche d’anatomie. Le torse véritablement énorme bombe une chemise verte à petits carreaux ornée d’un nœud papillon ma