1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 ’elle y est née, pourquoi ne puis-je m’empêcher d’ éprouver un sentiment de regret pour elle, de resserrement ? 4 décembre 193
2 e condition. Ils sont peut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérie
3 re ou la factrice, ou le postier, ou un Renaud, j’ éprouve une brève angoisse : quel rapport entre cet homme à qui je parle, et
4 la réalité. À la fin on obtient l’absurdité que j’ éprouvais , mais aussi l’impossibilité de la « sentir » avec quelque vivacité, s
5 ertaine « sympathie » (souffrir avec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je regrette vraiment beaucoup, mais il faut que
6 e temps, j’ai pu écrire quelques articles… Mais j’ éprouve une difficulté croissante et déjà presque insurmontable à me faire à
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
7 mme « comme les autres » par cela même que l’on s’ éprouve absolument distinct de tous les autres. 1er mars 1935 Si l’on c
8 suffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent éprouvé . Les grands soulèvements de l’instinct vers la clarté, notre raison l
9 tout cela est des plus simples, évident, et si j’ éprouve quelque difficulté à le formuler, c’est que mon dire reste dans mon e