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u de mauvaises volontés lointaines, et du hasard,
éveille
par résonance un sentiment de liberté, de gratuité aventureuse. Mon s
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vide de la nuit campagnarde, me voici seul encore
éveillé
, les yeux bien ouverts, l’esprit clair. Clarté d’un minuit solitaire,
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ou que nous écrivons, nous autres intellectuels,
éveillent
dans l’esprit populaire des harmoniques que nous ne savons plus prévo
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nification à la fois symbolique et précise. Ils n’
éveillent
plus chez l’homme du peuple les mêmes espoirs, les mêmes dégoûts que
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e temps que l’imminence de sa mort — et voici qui
éveillera
peut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe