1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 u de mauvaises volontés lointaines, et du hasard, éveille par résonance un sentiment de liberté, de gratuité aventureuse. Mon s
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
2 vide de la nuit campagnarde, me voici seul encore éveillé , les yeux bien ouverts, l’esprit clair. Clarté d’un minuit solitaire,
3 ou que nous écrivons, nous autres intellectuels, éveillent dans l’esprit populaire des harmoniques que nous ne savons plus prévo
4 nification à la fois symbolique et précise. Ils n’ éveillent plus chez l’homme du peuple les mêmes espoirs, les mêmes dégoûts que
5 e temps que l’imminence de sa mort — et voici qui éveillera peut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe