1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 lanches incultes du potager, de chaque côté d’une allée bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battant
2 , de chaque côté d’une allée bordée de rosiers. L’ allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des la
3 uiles concassées pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essa
4 montons plus au ciel du second Faust que par ces allées de Ferrare ! 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la conf
5 berté et de repos que vous sauriez faire dans vos allées  ; et je n’y considère pas autrement les hommes que j’y vois que j’y f
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
6 dre des baraquements de carton goudronné. Petites allées de campagne, en terre noire. Parfois on voit une haie fleurie, un bui
7 s de boisson, de tabac, légumes défraîchis. D’une allée sort un homme en espadrilles. Il porte un broc et va le remplir au bo
8 ère, et je me retrouvai seul. Mon idée s’en était allée (Je ne l’ai retrouvée que ce matin). Mais je venais de voir, le temps
9 et qui les satisfait ? Pourquoi pas cette vie aux allées droites bordées de gazon ras, en teintes plates et pâles comme le lav