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e de ces courettes charmantes qui sont la secrète
beauté
des habitations de l’île : toutes claires et propres, tapissées de gl
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populeuses. Pour la première fois, je trouve une
beauté
à ces façades monotones, animées de lumières çà et là, de linges qui
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tématique d’anéantir le vrai tragique, les vraies
beautés
et les vraies hontes dans l’existence monotone des « classes ». Il me
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faiblesse offerte au moins autant que par quelque
beauté
entrevue. Et je me répétai : « Oublie tout ce que tu vois et tiens-to
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ton être intérieur. » Je voyais la laideur et la
beauté
des hommes, mais je me souvenais de cette « révélation » : Tu aimeras