1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 e de ces courettes charmantes qui sont la secrète beauté des habitations de l’île : toutes claires et propres, tapissées de gl
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
2 populeuses. Pour la première fois, je trouve une beauté à ces façades monotones, animées de lumières çà et là, de linges qui
3 tématique d’anéantir le vrai tragique, les vraies beautés et les vraies hontes dans l’existence monotone des « classes ». Il me
4 faiblesse offerte au moins autant que par quelque beauté entrevue. Et je me répétai : « Oublie tout ce que tu vois et tiens-to
5 ton être intérieur. » Je voyais la laideur et la beauté des hommes, mais je me souvenais de cette « révélation » : Tu aimeras