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sont venus pour tuer le temps, au lieu d’aller au
café
. Cette inertie, dès qu’il ne s’agit plus d’argent. À moins que ce ne
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23 décembre 1933 J’écris ceci sur une table de
café
. À travers la vitrine, je vois le vieux port de cette vieille ville,
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des « discussions » qu’on peut entendre dans les
cafés
du port, au chef-lieu, mais qui correspond bien à ce que les pêcheurs
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locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois
cafés
pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
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entré comme ils achevaient de boire leur tasse de
café
au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Jour
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a place du village. En face ou à côté, il y a les
cafés
, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y
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les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au
café
. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! M
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avail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au
café
avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux o
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s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un
café
, dans une salle d’Université… Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
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er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au
café
, celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu
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es têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes
cafés
. Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histoire, chaque nuan