1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 s cherché la guerre, moi ! Eh bien ! je saurai me défendre  ! Et malgré les persécutions de ceux qui ont intérêt à étouffer la vé
2 onneur des consciences, vous saurez maintenant me défendre  ! etc. » C’est fini. L’instituteur s’éponge. Les hommes du fond ont a
3 défricheurs, mais de petits propriétaires qui se défendent avec la seule obstination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’h
4 pole. Ça n’est pas les deux sous, mais il faut se défendre  ! » 15 avril 1934 La culture et les gens. — Souvent, quand je
5 t tout y est correct : je dis que la thèse que je défends est vraie !… Il y aurait de quoi s’arrêter de penser, si l’on pouvait
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
6 à sens unique : c’est la personne qui cesse de se défendre , c’est l’anarchie qui renonce à ses droits. Et si le cadre de l’État
7 us en plus totalitaire. C’est donc que l’homme se défend de moins en moins. Ses « superstitions » personnelles (son quant-à-so
8 urtout vaine, ils en viennent à s’imaginer qu’ils défendent eux aussi les « petits » en défendant ces exploiteurs de la bassesse
9 sont ses intérêts, à quel niveau il faudrait les défendre . « Aliéné » par un ordre inhumain, il ne sait plus penser sa vie. Int