1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 de choses à écrire… Elle n’ose pas m’en demander davantage . Et moi, je recule devant l’entreprise de lui expliquer la nature de
2 aire sa « spécialité ». Et rien ne les étonnerait davantage que d’apprendre un beau jour que je m’intéresse à leurs « idées », à
3 Il me semble qu’elle m’apprend sur « le peuple » davantage que toutes mes expériences précédentes. Il me semble même qu’elle m’a
4 aider réellement un homme, il faut que j’en sache davantage que lui, mais il faut avant tout que je sache ce qu’il sait. Sinon mo
5 tion de travail. Au contraire, il peut travailler davantage . Il ne se distingue donc d’un intellectuel rentier que par le manque
6 t plus que d’autres, par vocation, souffrira-t-il davantage de son état, tout au moins le comprendra-t-il plus profondément, plus
7 iberté qu’auparavant, etc. Mais ce qui me surprit davantage , ce fut la question franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air
8 te journée deux impressions (je n’ose pas en dire davantage  : tout cela est encore moins clair dans la réalité que dans ce résumé
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
9 es bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il craint davantage  : de la vie qui ne rapporte plus, ou de la mort qui rapporte « en dou
10 uerrier à quoi certains de nos voisins sacrifient davantage que leur vie : leur dignité de personnes, — et celle des autres… »
11 ’un élan passionné qui la soutienne ? En agissant davantage notre « idéal », sans doute laisserions-nous moins de loisirs à notre