1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 insi toute chose que je sais mettre en œuvre à ma façon , et peu capable de comprendre que l’on veuille « avoir » autrement. P
2 ir une fois les habitants du village réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinaire invisible, au po
3 illions d’hommes ne peut pas être vécu de la même façon par l’intellectuel. Il atteint les travailleurs manuels, les employés
4 trigué dès les premiers jours par l’allure et les façons de travailler si spéciales des gens d’ici, j’ai hésité longtemps à cr
5 antres rédactionnels. Je dis les antres. De toute façon , un écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et l’inj
6 équilibre entre ces forces antagonistes, de telle façon que loin de se nier ou de s’exclure, elles s’éduquent et se forment l
7 aut un véritable non-espoir.) Équivalent, pour la façon de traiter la vie, de la médecine des homéopathes. 16 juin 1934
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
8 esurée, leur raison, leur énergie sérieuse, cette façon de ne pas se plaindre de son sort… Pourtant, il en est peu de cette e
9 ême ne disait pas lui aussi « aidez-moi ! », à sa façon vulgaire, avec son rire insupportable, et fallait-il être bien fin po
10 oit de dire chaque chose qu’une seule fois, de la façon la plus économique et la plus claire13. Or, cette langue d’échanges d
11 qu’en tout cas il ne peut pas se poser de la même façon en France. Je conclus que la seule manière de prévenir utilement un f
12 qu’on ne parle guère que de cela. Oui, mais d’une façon générale, non pas personnelle. Seulement, il se trouve que mon propos