1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 lairet assez acide, qui laisse peut-être un léger goût iodé, au moins l’on est tenté de l’imaginer : la vigne croît ici au r
2 La péroraison a été éloquente, un peu trop à mon goût . On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. L
3 e Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût de miel, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdom
4 l faut les aimer, ou parce qu’on n’a pas d’autres goûts que ceux qu’inspire la publicité. En somme, tout cela n’est effrayant
5 quand nous étions adolescents, chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de téléphones, à la ville, de tout à l’heure, d
6 ir les doigts et les ongles terreux ; toujours ce goût d’enfance… Je ne me sens plus « éloigné de Paris », mais au centre d
7 mpagnie en exercice. 7. Idolâtrie de Goethe : ce goût de l’utilité pure, de la « qualité d’être utile » prise en soi, qui r
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
8 a population des faubourgs des grandes villes. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez que dans la
9 s moyens politiques qui empêchent cette santé, ce goût du risque, de se transformer mécaniquement en guerre. C’est tout le p
10 La mauvaise habitude de penser « librement » ? Le goût des chimères précises ? 4 novembre 1934 Cette note de la nuit d
11 dit. Je lui ai fait du poulet, elle n’y avait pas goût . Alors j’ai pensé lui faire du bouillon de poulet, ça lui a fait de l
12 truction publique et la Presse répandent sinon le goût , du moins la pratique quotidienne de la lecture. Le public s’étend au