1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 dirigée vers lui-même, je veux dire vers son moi idéal , le plus hautement organisé et autonome. L’admirable objectivité de s
2 , voilà la leçon qu’il se répète pour lui-même, l’ idéal qu’il a su opposer au Sturm und Drang de sa jeunesse. Mais encore une
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
3 u milieu de ses frères verticaux. Le rationaliste idéal , c’est l’homme couché ; tout au plus, l’homme assis. Celui qui se fai
4 quand je m’informe des raisons de tel parti, de l’ idéal de tel individu, et que je trouve partout la confusion, la dispersion
5 n soutenant à plusieurs reprises que la politique idéale devrait partir de la personne. Elle doit tenir compte de la personne,
6 du pire désordre, et c’est la mort. Cas purement idéal bien entendu puisque l’histoire ne connaît pas d’arrêt. En réalité, s
7 qui la soutienne ? En agissant davantage notre «  idéal  », sans doute laisserions-nous moins de loisirs à notre faculté judic
8 r exercer ses comparaisons trop exactes entre cet idéal et les réalités stupides qui nous blessent. S’engager au lieu de s’in
9 rmale et plus féconde de chacun de ses membres. L’ idéal commun ne suffit pas : il faut encore que l’entraide des colons crée
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
10 enir dialectique de l’histoire (« Progrès ») et l’ idéal prolétarien (« Valeurs spirituelles »). Qu’importe que Staline se con
11 te dès que vous tâchiez de leur montrer que leurs idéaux n’étaient guère pratiqués. — Le marxisme représente la Réalité aux ye