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it le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte
mère
. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais
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et reprend, l’œil fixe, son travail invisible de
mère
. C’est beau. C’est fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant co
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? On m’a dit qu’il y en a quatre-cents à A… ?… La
mère
, vivement : — Jamais je n’ai engagé de chômeurs, monsieur, c’est un p
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— Je vais chez les Calixte. On nous a dit que la
mère
est malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se
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r faire une lessive à la maison pour remplacer sa
mère
. Nous manquons de corde pour étendre le linge ; elle imagine de le me
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des heures, la petite chienne Marquise — c’est la
mère
du basset Pernod — a trottiné tout gentiment sur les restanques, en f