1 ce de l’« esprit », bêtise de l’action : ces deux misères n’auraient-elles pas une origine commune ? Il m’a semblé que j’entrev

2 age ? Les chômeurs eux-mêmes ? On n’étudie pas la misère , quand il ne s’agit plus de rien que de trouver le pain du lendemain,

3 u niveau le plus bas où l’homme puisse vivre sans misère , sans ambitions, sans rêves, sans tristesse. Chacun pour soi sur sa p

4 j’ajoute aussitôt que la solution pratique de la misère réelle, celle qui est vécue depuis longtemps ou depuis toujours par u

5 ispense de supprimer les facteurs matériels de la misère , capitalisme, centres urbains, etc.) Sans doute l’esprit de pauvreté

6 ienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qui se puisse imaginer, dans les antres rédactionnel

7 es hommes vivent sans calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion, superstitieux, poètes, bons et fous. Je décrivi

8 4 Du rôle pratique de la raison. — Je vois la misère qui règne dans tous ces foyers, et qui les détruit. Je vois ces enfan

9 t mal soignés, la tuberculose, l’alcoolisme et la misère héréditaire. Mais je vois d’autre part, en parcourant la feuille loca

10 r donne et dont elle se plaint aussitôt, toute la misère des millions d’isolés qui font nos foules et qui saluent les dictateu

11 simplicité : l’imprévoyance, l’acceptation d’une misère , mais aussi l’acceptation d’un don immérité, la prodigalité mais auss

12 lles des villes. Il ne s’agit pas d’échapper à la misère pour tomber dans l’ascèse volontaire ; ni d’échapper à la dispersion

13 ute la population de ce « pays » fait de déchets. Misère , fatigue, laideurs partout, toutes raisons de haïr et aucune d’admire

14 nfin heureux, délivrés des maux dégradants, de la misère et du taudis ? Je réponds qu’ils s’ennuieront. J’en réponds à leur pl