1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 ain assuré, et se procurer tout de même le strict nécessaire par des articles, traductions, etc. (qu’il me reste d’ailleurs à trou
2 ’ailleurs à trouver) — et combien coûte ce strict nécessaire  ; 2 — (problème psychologique) — si ce régime est favorable ou non à
3 tôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’hommes français que je voud
4 simplement la cessation du travail pour un repos nécessaire . Il se définit psychologiquement non par rapport au travail, mais par
5 ession quand les instruments ou le champ d’action nécessaires leur font défaut. Mais l’intellectuel n’a besoin, la plupart du temps
6 paysans travaillent beaucoup plus qu’il ne serait nécessaire à leur subsistance si la répartition des terres était conçue non poin
7 la révolution économique que je crois moralement nécessaire , et d’ailleurs techniquement possible, c’est d’accorder à tout homme,
8 manente et vraie question est celle des relations nécessaires entre l’esprit individuel, et l’espèce, maîtresse du corps. L’alterna
9 celle du peuple. Grande masse ! Et une existence nécessaire , dépourvue d’arbitraire. Cette peuplade ne s’est pas réfugiée sur ces
10 fut point par quelque caprice… » « Une existence nécessaire , dépourvue d’arbitraire », voilà la leçon qu’il se répète pour lui-mê
11 smique en nous, de la conscience de notre royauté nécessaire et réparatrice. Il est probable que le tigre en train de déchiqueter
12 e parlent pas, et qui est pour moi la seule chose nécessaire  ?   Je viens d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
13 que rien ne puisse plus l’apaiser — pas même les nécessaires révolutions — hors de la fin dernière qu’elle nous désigne et qu’elle
14 e dont il souffre et sur les remèdes qu’il estime nécessaires  : il vous débite des clichés de journal, ou se contente de hocher la
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
15 on des hommes qui auront tout sauf la seule chose nécessaire . Craignons qu’ils ne préfèrent un jour les grands malheurs à cette dé