1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
1 ur la droite, tandis que le versant sud, avec ses restanques touffues d’oliviers, ferme l’horizon immédiat. Au sud-est, nous avons
2 qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites, passant de l’une à l’autre par ces petits escaliers tout si
3 basset Pernod — a trottiné tout gentiment sur les restanques , en faisant tinter son grelot, respectueusement talonnée par un grand