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e son opulence, frisé comme une perruque du grand
siècle
. De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent
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absurdités sur lesquelles nous vivons depuis des
siècles
, dans un accord peut-être excessivement tacite. Je voudrais exprimer
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e personne ne pense à la dire… Peut-être, dans un
siècle
ou deux, se demandera-t-on comment nous avons pu rester si parfaiteme
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déferlantes, et ce serait le chant du destin d’un
siècle
aveugle en sa révolte… Étrange accord de cette musique de foule et d
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un monde neuf où la pensée avait perdu, depuis un
siècle
, la coutume de chercher ses résistances. Or ce monde nous apparaît dé
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au monde et à soi-même conjointement. Problème du
siècle
, ou des siècles qui viennent. C’est Goethe encore qui l’a vu le premi
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oi-même conjointement. Problème du siècle, ou des
siècles
qui viennent. C’est Goethe encore qui l’a vu le premier. Et c’est pou