1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 asse, quelques pins, deux ou trois baraques. Nous traînons nos valises le long d’un appontement interminable jusqu’à l’autocar o
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
2 agner sa chienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qui se puisse imaginer, dans les antres ré
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
3 Toujours ces luttes dans la remise. La chienne se traîne . La chatte est déjà grosse. Une puissance inexorable s’est emparée de
4 et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. Il interpelle as