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Dépenses du premier mois dans l’île : Ménage,
manger
et boire, 480 francs ; (en général tout est plus cher qu’à Paris). Un
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te mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va
manger
ce jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les deux fils disent
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ux ou trois jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour
manger
. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
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pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et
mangent
la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
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outé deux ou trois jambes, donc, mais moi je n’en
mange
pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rent
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’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en
manger
une grande assiettée ; ça arrange, ça délasse, et avec ça on peut all
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élasse, et avec ça on peut aller se coucher ! Ils
mangent
et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avai
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ndant des mois, la croyant trop vieille pour être
mangée
, sinon pour faire encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissable
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ne seiche énorme, de celles que les gens de l’île
mangent
(ils les coupent dans la longueur et les conservent pour l’hiver). Vi
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rette vraiment beaucoup, mais il faut que je vous
mange
. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dern
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aut penser à eux quand on juge « le monde »… Nous
mangeons
les premiers légumes du jardin : salades et radis. Pour les carottes,
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onnelet. Et nous allions nous mettre à table pour
manger
le canard des grandes occasions, quand la chose est arrivée. Apportée
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noire et les poulets encore trop jeunes pour être
mangés
. Régler vingt petites choses de cette espèce. Petites choses pour la