1 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
1 Ainsi j’ai retrouvé ma vieille Germanie dans les cafés , dans la ville médiévale, dans l’odeur douce des magasins de tabac, d
2 s la plupart de ceux que l’on voit encore dans un café de la place de l’Opéra paraissent, il faut l’avouer, justifier les sl
3 . Mais intérieurement on enrage, et à la table de café du “corps” on ne connaît plus de retenue. Certaines déclarations ordu
4 rire des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés , ou gagner de l’argent, ou même faire la théorie d’un ordre nouveau ?
5 e sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse alleman
6 es, et j’ai une carte. — Venez voir ! Du seuil du café , l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des milliers de SA et de SS
7 rogramme communiste atténué. 10 mai 1936 Au café avec mes étudiants. Je les interroge sur leurs expériences de camp de