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angui. Le pasteur a parlé de l’héroïsme. Le héros
chrétien
n’est pas celui qui meurt glorieusement pour la puissance de sa race,
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ment sur au moins quelques siècles d’histoire. Le
chrétien
seul meurt dans la certitude, parce que sa foi lui a révélé la fin ab
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égime les valeurs qui nous sont vitales ? Pour un
chrétien
, il y va de bien plus : de la forme que pourra revêtir la prédication
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ligions. Il fallait cette épreuve du feu pour les
chrétiens
embourgeoisés. 7 mars 1936 Comme je traversais la place de l’Op
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urnal. Je n’ai ajouté que ceci, en conclusion : «
Chrétiens
, retournez aux catacombes ! Votre “religion” est vaincue, vos cérémon
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Barth et la théologie dialectique, l’ensemble des
chrétiens
luthériens et calvinistes qui refusent de laisser « mettre au pas » l
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fermant Niemöller ils abattront la résistance des
chrétiens
: ils se figurent que le christianisme est un parti.) La vérité est a
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e leur en sait aucun gré. Le Parti n’aime pas les
chrétiens
. Ils sont là comme l’œil de Caïn dans la tombe, — la tombe autarchiqu
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lle n’est que le premier affrontement de l’Église
chrétienne
et d’un système « total » dont les chefs ont beau jeu de prouver qu’o