1 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
1 la révolution redevenait à peu près invisible. Le phénomène est d’ailleurs bien connu : c’est aux premiers contacts que l’on perç
2 e, de boire et de penser ensemble. En réalité, ce phénomène est aussi vieux que les Allemagnes ; il ne peut donc rien expliquer d
2 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
3 isir, qu’il soit intéressant de choisir entre les phénomènes tertiaires (fascisme) et les phénomènes secondaires (nationalisme et
4 entre les phénomènes tertiaires (fascisme) et les phénomènes secondaires (nationalisme et socialisme) d’une maladie aussi vieille
5 à une reconstruction plus ou moins cohérente des phénomènes apparents, c’est-à-dire à une description. Et dès lors qu’il s’agit d
6 re à une description. Et dès lors qu’il s’agit de phénomènes aussi complexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette descripti
7 s échapper, c’est le principe d’actualisation des phénomènes , ou si j’ose dire : c’est la grâce efficace. Les choses ont tourné de
8 as en parlant d’hystérie qu’on peut comprendre le phénomène fondamental de la reconstruction d’une communauté autour d’un sentime
9 uvreté et le malheur ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs. La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irra
10 se et ramassée la nature proprement religieuse du phénomène totalitaire allemand. Mesurons maintenant la naïveté des « réalistes