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la révolution redevenait à peu près invisible. Le
phénomène
est d’ailleurs bien connu : c’est aux premiers contacts que l’on perç
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e, de boire et de penser ensemble. En réalité, ce
phénomène
est aussi vieux que les Allemagnes ; il ne peut donc rien expliquer d
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isir, qu’il soit intéressant de choisir entre les
phénomènes
tertiaires (fascisme) et les phénomènes secondaires (nationalisme et
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entre les phénomènes tertiaires (fascisme) et les
phénomènes
secondaires (nationalisme et socialisme) d’une maladie aussi vieille
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à une reconstruction plus ou moins cohérente des
phénomènes
apparents, c’est-à-dire à une description. Et dès lors qu’il s’agit d
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re à une description. Et dès lors qu’il s’agit de
phénomènes
aussi complexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette descripti
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s échapper, c’est le principe d’actualisation des
phénomènes
, ou si j’ose dire : c’est la grâce efficace. Les choses ont tourné de
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as en parlant d’hystérie qu’on peut comprendre le
phénomène
fondamental de la reconstruction d’une communauté autour d’un sentime
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uvreté et le malheur ne peuvent expliquer que des
phénomènes
extérieurs. La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irra
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se et ramassée la nature proprement religieuse du
phénomène
totalitaire allemand. Mesurons maintenant la naïveté des « réalistes