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oncordance établie par M. Joseph Bédier (dans son
étude
sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xiie siècle : Bér
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era d’ailleurs si l’on tient compte de l’état des
études
arabisantes à son époque. Des travaux plus récents ont révélé l’exist
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int tous cependant. D. Roché, dans une excellente
étude
sur Le Catharisme (p. 2, Carcassonne, 1937) donne une liste d’ouvrage
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donner le bon à tirer de cet ouvrage, je lis une
étude
remarquable de Lucie Varga : Peire Cardinal était-il hérétique ? (« R
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prenne les poèmes des troubadours comme sources d’
études
sur le catharisme. — Cf. sur Peire Cardinal hérétique : J. Anolade, L
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eur sur le sens même du mot courtois ! 70. Cf. l’
étude
de E. Dermenghem, Mortelle poésie (Hermès, juin 1936), où l’on trouve
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yrique hispano-arabe et les troubadours, voir les
études
de Menendez y Pelayo, Gonzalez de Palencia, et Ribera. (À propos du z
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p. cit., II, p. 243-244. 84. Voir l’intéressante
étude
de M. Alexandre Haggerty-Krappe sur la Légende de « Tannhäuser » (Mer
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sations ne se révèlent plus décevantes que dans l’
étude
des mystiques. Comme l’a fort bien noté J. Baruzi (Saint Jean de la C
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Fauriel venaient de provoquer la renaissance des
études
romanes.) « Singulière civilisation », dit-il. Et il rêve un peu là-d
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int : R. P. Lavaud, « L’idée divine du mariage »,
Études
carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifi
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rmation de mon analyse du crime sadique dans deux
études
remarquables de Pierre Klossowski : le Mal et la négation d’autrui da