1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 ? 3.Agapè ou l’amour chrétien Prologue de l’ Évangile de Jean : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec
2 ier, elle devient la première condition. Ce que l’ Évangile appelle « mort à soi-même », c’est le début d’une vie nouvelle, dès i
3 une interprétation purement « spiritualiste » des évangiles , et spécialement de l’Évangile de Jean. Triple hérésie contre la Trin
4 iritualiste » des évangiles, et spécialement de l’ Évangile de Jean. Triple hérésie contre la Trinité : en effet, elle divise le
5 ait solennellement à se consacrer à Dieu et à son Évangile , à ne jamais mentir ni jurer, à s’abstenir de tout contact avec sa fe
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
6 érésie des cathares consistait à idéaliser tout l’ Évangile , et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du m
7 cathares opposent la Nuit au Jour comme le fait l’ Évangile de Jean. Mais la Parole du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
8 rend dans une satire du xiiie siècle intitulée l’ Évangile des femmes : c’est une suite de quatrains dont les trois premiers ver
9 e nom même de l’amour divin, et d’avoir fait de l’ Évangile un prétexte à massacrer les « purs ». 119. Ai-je dit que la chevaler