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Château de l’Âme parmi les symboles préférés d’un
Ruysbroek
et d’une sainte Thérèse… d) Dans un poème d’Omar Ibn al Faridh — pour
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orientale » aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂
Ruysbroek
se montre impitoyable contre celui qui fut son maître. Dans son Livre
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ils trouvent… » Bref, ils agissent. On le voit :
Ruysbroek
accuse Eckhart de quiétisme. Il revendique contre lui un certain acti
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r-passion se déversent dans la prose enflammée de
Ruysbroek
: immersion dans l’amour, défaillements, embrassements, ouragans de l
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ures… « Il m’a bu l’esprit et le cœur » fait dire
Ruysbroek
à l’une de ses béguines parlant du Christ. « Je me suis perdue dans s
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outir enivrée… » Je me suis arrêté à l’exemple de
Ruysbroek
pour la commodité de l’exposé : le fait historique que Maître Eckhart
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rt bien connu, et orthodoxe par-dessus le marché (
Ruysbroek
ou sainte Thérèse par exemple) l’origine de termes précis dont saint
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n formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’un
Ruysbroek
, d’une Thérèse et d’un Jean de la Croix, nous pouvons maintenant tire
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ctrine de l’union ou leur foi dans l’Incarnation.
Ruysbroek
, Thérèse et Jean de la Croix sont très nettement « christocentriques
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de la passion !) 2° Si Jean de la Croix, et même
Ruysbroek
, et saint François, sont évidemment postérieurs à la naissance de l’a
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ntoxication, et tout nous prouve que les Eckhart,
Ruysbroek
, Thérèse, Jean de la Croix, sont exactement le contraire de ce qu’on
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înée, que pensera-t-on d’une sainte Thérèse, d’un
Ruysbroek
! b) « On n’a jamais entendu saint Bernard souhaiter d’être débarras