1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 Château de l’Âme parmi les symboles préférés d’un Ruysbroek et d’une sainte Thérèse… d) Dans un poème d’Omar Ibn al Faridh — pour
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
2  orientale » aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂ Ruysbroek se montre impitoyable contre celui qui fut son maître. Dans son Livre
3 ils trouvent… » Bref, ils agissent. On le voit : Ruysbroek accuse Eckhart de quiétisme. Il revendique contre lui un certain acti
4 r-passion se déversent dans la prose enflammée de Ruysbroek  : immersion dans l’amour, défaillements, embrassements, ouragans de l
5 ures… « Il m’a bu l’esprit et le cœur » fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines parlant du Christ. « Je me suis perdue dans s
6 outir enivrée… » Je me suis arrêté à l’exemple de Ruysbroek pour la commodité de l’exposé : le fait historique que Maître Eckhart
7 rt bien connu, et orthodoxe par-dessus le marché ( Ruysbroek ou sainte Thérèse par exemple) l’origine de termes précis dont saint
8 n formelle des écrits d’un Eckhart avec ceux d’un Ruysbroek , d’une Thérèse et d’un Jean de la Croix, nous pouvons maintenant tire
9 ctrine de l’union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbroek , Thérèse et Jean de la Croix sont très nettement « christocentriques 
10 de la passion !) 2° Si Jean de la Croix, et même Ruysbroek , et saint François, sont évidemment postérieurs à la naissance de l’a
11 ntoxication, et tout nous prouve que les Eckhart, Ruysbroek , Thérèse, Jean de la Croix, sont exactement le contraire de ce qu’on
3 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
12 înée, que pensera-t-on d’une sainte Thérèse, d’un Ruysbroek  ! b) « On n’a jamais entendu saint Bernard souhaiter d’être débarras