1
al aime au moins autant ce qui détruit que ce qui
assure
« le bonheur des époux ». D’où peut venir une telle contradiction ? S
2
ui se fit jongleur errant, et dont les romanistes
assurent
que les poèmes sont « vides de pensée » : n’y trouve-t-on pas la déma
3
dans sa Préface lorsqu’il écrit : Ce que je puis
assurer
, c’est que je n’ai point fait de tragédie où la vertu soit plus mise
4
e : c’est peut-être qu’il est plus « naïf », plus
assuré
de la réalité de son au-delà. Voyez-les se reprendre sans cesse aux f
5
aucune espèce de sens valable il suffit pour s’en
assurer
d’imaginer l’impuissance absolue où se trouvent les clients de cette
6
« On combat toujours à cheval, couvert d’armes et
assuré
de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus est presqu
7
gnent souvent de souhaiter d’autres nœuds, pour s’
assurer
davantage de la fidélité et de la constance de la personne aimée. C’e