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ce qui n’importe pas dans le cas du mythe : sa «
beauté
», ou sa « vraisemblance », et toutes ses qualités de réussite singul
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Ma seconde raison n’est pas d’un défenseur de la
beauté
, même maudite, mais d’un homme qui a le goût d’y voir clair, de prend
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n certains auteurs, c’est aussi qu’elle admire la
beauté
du jeune homme, à ce moment.) Tristan et la princesse voguent vers le
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ser, au-delà de la mer, « pour son nom et pour sa
beauté
»7 une autre Iseut, l’Iseut « aux blanches mains ». Et en effet, Tris
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seut aux blanches mains « pour son nom et pour sa
beauté
». Maintenant, ces « raisons » mises à part — nous aurons l’occasion
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an épouse l’autre Iseut « pour son nom et pour sa
beauté
» mais cependant la laisse vierge, n’est-il pas évident que rien ne l
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t on trahit l’esprit25. Platon liait l’Amour à la
Beauté
. Mais la Beauté qu’il entendait, c’était d’abord l’essence intellectu
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prit25. Platon liait l’Amour à la Beauté. Mais la
Beauté
qu’il entendait, c’était d’abord l’essence intellectuelle de la perfe
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à cette idée que l’amour dépend avant tout de la
beauté
physique — alors qu’en fait cette beauté même n’est que l’attribut co
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ut de la beauté physique — alors qu’en fait cette
beauté
même n’est que l’attribut conféré par l’amant à l’objet de son choix
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ien que « l’amour embellit son objet », et que la
beauté
« officielle » n’est pas un gage d’être aimé. Mais le platonisme dégé
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t qu’il assimile d’instinct à la définition de la
beauté
, n’est-ce pas le souvenir de la mère « fixé » dans sa mémoire secrète
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sselage amoureux. Le poète a gagné sa dame par la
beauté
de son hommage musical. Il lui jure à genoux une éternelle fidélité,
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saurait d’où ils viennent. N’est-ce pas, sauf la
beauté
, plutôt courant ? Et si l’on dit : ces troubadours ne parlent point d
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es plus ardents parmi les troubadours à louer les
beautés
de leur Dame, Arnaut Daniel et l’Italien Guinizelli sont placés au ch
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idée : Le Familier des Amants, Le Roman des Sept
Beautés
… Il y a plus. À l’occasion de ces traités, les mêmes disputes théolog
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itent d’autres personnages allégoriques, tels que
Beauté
, Désir et Angoisse, le Renseigné, le Probateur, le Bien connu : comme
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l’ouvrage de Nizani de Ganja : le Roman des Sept
Beautés
, qui conte les aventures des sept jeunes filles vêtues aux couleurs d
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la ? Il répondit : Telle est la coquetterie de la
Beauté
attirant à elle les amoureux.71 ⁂ Par quelles voies la mystique ara
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lainn, ou Oisin, « est attiré par une mystérieuse
beauté
: il s’embarque sur une barque magique » et parvient à une terre merv
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Iseut aux blanches mains pour son nom et pour sa
beauté
, car, quelle qu’eût été sa beauté sans ce nom, quel qu’eût été ce nom
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nom et pour sa beauté, car, quelle qu’eût été sa
beauté
sans ce nom, quel qu’eût été ce nom sans sa beauté, le désir de Trist
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eauté sans ce nom, quel qu’eût été ce nom sans sa
beauté
, le désir de Tristan ne s’y fût pas porté. Ainsi Tristan veut se veng
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ce, et jouissance d’une naturelle et surnaturelle
Beauté
… gardant jusqu’en ses plus subtiles sublimations quelque chose de l’É
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e ton haleine Et n’a pas eu de prise encor sur ta
beauté
Et tu n’es pas conquise. L’enseigne de beauté Est encore cramoisie su
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ta beauté Et tu n’es pas conquise. L’enseigne de
beauté
Est encore cramoisie sur tes lèvres, tes joues, Et le pâle drapeau de
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e, mais seulement pour l’amour de l’Amour dont sa
beauté
lui offrait une image. Lui pourtant l’ignorait, et sa passion était n
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n a besoin d’aimer, et qu’on ne peut aimer que la
beauté
. Disons plus simplement que la cristallisation, c’est le moment où l’
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e « belles » brutes, il y a des brutes. L’idée de
beauté
, qu’un Lawrence croit encore consistante, c’est l’héritage d’une époq
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: « Celui dont les yeux ont une fois contemplé la
beauté
est déjà voué à la mort… » 148. Les italiques sont dans le texte ori
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a magnificence de plusieurs de ses Princes, de la
beauté
d’un grand nombre de villes célèbres et de la majesté du Siège de la
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écano épouser l’héritière187. De même, le Prix de
Beauté
a quelque chance de devenir comtesse ou milliardaire. C’est une « ada
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mage de la Mère, ce qui les tyrannise, c’est la «
beauté
standard ». De nos jours — et ce n’est qu’un début —, un homme qui se
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rs tournent à leur détriment. Le mari souffre des
beautés
qu’il aperçoit à d’autres femmes, et dont la sienne se trouve privée
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réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère,
beauté
, fortune, rang social… Mais pour peu que se précisent les exigences i