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ve passionné. Ils ont besoin l’un de l’autre pour
brûler
, mais non de l’autre tel qu’il est ; et non de la présence de l’autre
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ous aimons la brûlure, et la conscience de ce qui
brûle
en nous. Liaison profonde de la souffrance et du savoir. Complicité d
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aussitôt s’en déprendre, puisque le but était de
brûler
toujours plus, de brûler jusqu’à en mourir ! L’être particulier n’éta
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puisque le but était de brûler toujours plus, de
brûler
jusqu’à en mourir ! L’être particulier n’était guère qu’un défaut et
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cieuse brûlure. (« Il vaut mieux se marier que de
brûler
», écrit saint Paul aux Corinthiens.) De plus, c’est un amour heureux
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était la doctrine des cathares ? L’Inquisition a
brûlé
la plupart de leurs écrits37 ; mais ses registres nous ont conservé l
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xiiie siècle, détruisit les cités des cathares,
brûla
leurs livres, massacra et brûla les populations qui les aimaient, vio
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tés des cathares, brûla leurs livres, massacra et
brûla
les populations qui les aimaient, viola leur sanctuaire de Montségur
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es cas où l’amant d’une femme — toujours mariée —
brûlait
des cierges à tous les saints pour obtenir de vaincre les rigueurs de
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s à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes, je
brûle
et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis
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olonté à soi, qu’elle suscite sa propre ardeur et
brûle
de sa propre affection, ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à v
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r céleste M’enflamment de façon qu’il me plaît de
brûler
.126 (Triomphe de l’amour.) Mais présente ou absente — ici encore —,
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Je sais, suivant mon feu partout où il me fuit,
Brûler
de loin — de près geler. Tout l’amour romantique est dans ce dernier
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e de nous dissimuler. Lui aussi, il ne veut que «
brûler
» ! Mais il ne peut l’avouer qu’en affirmant le contraire, en affirma
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ccès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
brûler
, donc en fait : sa crainte de guérir !) sont en effet couronnés de su
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ien de ces douceurs paisibles… Lui aussi désirait
brûler
, et non pas rassasier son désir. Lui aussi va multiplier les obstacle
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de sa recherche, Stendhal n’ait plusieurs fois «
brûlé
». Il consacre deux longs chapitres à l’amour en Provence au xiie si
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e, qui veut être lui-même son dieu196. La passion
brûle
dans notre cœur sitôt que le serpent au sang-froid — le cynique pur —
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pas un ordre… Car il vaut mieux se marier que de
brûler
… Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l