1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
1 de l’amour courtois. Ce seul exemple suffirait à démontrer que les auteurs du Roman avaient choisi en toute conscience pour la c
2 é et de demander l’absolution, ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’aventure, puisqu’en somme i
3 Il ne sera jamais à court de bonnes raisons pour démontrer qu’il n’est responsable de rien… Imaginons maintenant le problème qui
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
4 xtrêmes ainsi marqués, l’on n’aura pas de peine à démontrer qu’il existe en Orient de nombreuses tendances occidentales ; et l’in
5 cinq-cent-mille personnes ! D’ailleurs, quand on démontrerait , à supposer que ce fût possible en soi, que tels d’entre les troubado
6 risme et du dogme cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme n’est pas cathare. N’oublions pas qu’ils
7 e image visible des choses saintes suffisait à en démontrer la vérité » (p. 199). C’est dire que le « secret » des troubadours ét
8 èse cohérente. En attendant, le bon sens suffit à démontrer  : 1° que le peu de choses que nous savons de la psychanalyse n’autori
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
9 ermes de passion. Et c’est bien ce que l’Histoire démontre . « Chez les mystiques eckhartiens — écrit l’abbé Paquier98 —, je ne s
4 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
10  » ? Je n’en sais rien, et personne ne saurait le démontrer . Et la peinture, quelle peut bien être son action ? L’architecture, a
11 t lorsqu’il s’agit d’une littérature dont on peut démontrer , historiquement, qu’elle a donné sa langue à la passion. Si la littér
12 e, il se venge de l’objet de sa passion, et il se démontre à lui-même que cette passion est condamnable sans appel. Mais je l’ai
13 es passions n’y sont présentées aux yeux que pour démontrer tout le désordre dont elles sont cause… On est loin du dessein d’« e
5 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
14 te façon, mais fait seulement communier. d) Pour démontrer que l’amour courtois est sensuel, M. Gilson cite encore une strophe d