1 ou de délire, qui ne s’engendre pas sans quelque divinité , ni ne se crée dans l’âme au-dedans de nous : c’est une inspiration t

2 fie « endieusement », car ce délire procède de la divinité et porte notre élan vers Dieu. Tel est l’amour platonicien : « délire

3 n cessant d’être, en se « perdant » au sein de la divinité . Mais le christianisme, par son dogme de l’incarnation du Christ dans

4 l et toutes les étoiles », n’est-ce point déjà la Divinité en soi des grands mystiques hétérodoxes, le Dieu d’avant la Trinité d

5 ’exaltation aboutît à la fusion de l’âme et de la Divinité . Or le langage érotico-religieux des poètes mystiques tendait à établ

6 ve : il tend à la fusion totale de l’âme et de la divinité . Le second courant peut être appelé celui de la mystique épithalamiqu

7 a nature, à son être et à sa vie, et naît dans la Divinité . C’est là qu’est son devenir. Elle devient si totalement un seul être

8 ile et fascinante, — ce nous-même d’horreur et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité d’un coup dans

9 et cela donne finalement tout un verbiage sur la divinité des impressions champêtres du dimanche.) Spinoza définit l’amour : un

10 un dans l’autre et la foi dans la toute-puissante divinité de l’Amour qui à jamais nous guidera, invisible, et renforcera sans c

11 s Iraniens et des cathares, la coupe de Gwyon159, divinité celtique ! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dan

12 croire. Vous avez fait de la femme une espèce de divinité coquette, cruelle et vampirique. Vos femmes fatales, et vos femmes ad

13 r. Vos tabous sont des sacrilèges contre la vraie divinité , qui est la Vie. Et la vie, c’est l’instinct libéré de l’esprit, la g

14 ’en vertu de cet amour mystique qui les unit à la divinité  ! Au contraire, l’amour mystique orthodoxe n’unit pas de cette façon,