1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
1 lit cornélien entre l’amour et le devoir ». Cette interprétation classique est d’un aimable anachronisme. Outre qu’elle abuse de Corne
2 devant les preuves ; mais quoi qu’on pense d’une interprétation que j’ai stylisée à dessein, il demeure qu’elle nous a permis de surp
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 mple agape commémorative). Ils se fondent sur une interprétation purement « spiritualiste » des évangiles, et spécialement de l’Évangi
4 Et c’est plus qu’il n’en faut pour justifier mon interprétation religieuse du mythe courtois de la passion. Pour nous faciliter une r
5 ment que les romanistes ont coutume d’opposer à l’ interprétation religieuse de l’art courtois. Or il se trouve que dès le ixe siècle,
6 d mitten durch » : « perce bellement ».) Ces deux interprétations se contredisent bien moins qu’elles ne se complètent76. Elles ont l’a
7 évidents, si saugrenues que puissent paraître les interprétations que donne l’auteur lui-même, après chaque épisode. Il est une de ces
8 lui-même, après chaque épisode. Il est une de ces interprétations que je crois utile de citer, car l’origine cathare y transparaît nett
9 e ne pense pas qu’on doive s’en tenir à une seule interprétation . Il s’est produit toute une série de fusions et de confusions de symb
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
10 uvres d’Eckhart, paraît contredire formellement l’ interprétation précédente. Elle rejette Maître Eckhart du côté de « l’Orient », c’es
11 x profanes, soit en considérant l’humain sous une interprétation divine. [C’est moi qui souligne.] c) Surtout l’amour courtois et l’a
4 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
12 t. Dans un opuscule postérieur, Aroux précise son interprétation . La brochure porte un titre significatif : Clef de la Comédie anticat