1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
1 , et plein de méfiance pour le merveilleux, qu’il juge grossier, réduit autant que possible l’importance du philtre, et prés
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
2 erne cette action ne peut que lui échapper, et il juge en fin de compte, très platement qu’il n’y a là qu’une faiblesse logi
3 usser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne juge pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas, quoi qu’
4 e… Mais déjà l’homme du xviiie se réveille et se juge ridicule : « Voilà donc à quel degré de puérilité notre superbe raiso
5 cient. À force de l’entendre répéter par les bons juges , on a fini par croire que le Tristan de Wagner est un drame du désir
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
6 pour elle-même, sans plus se référer à rien qui «  juge  » et qui « mesure » la jouissance qu’on en tire. Seul un respect acqu