1
, et plein de méfiance pour le merveilleux, qu’il
juge
grossier, réduit autant que possible l’importance du philtre, et prés
2
erne cette action ne peut que lui échapper, et il
juge
en fin de compte, très platement qu’il n’y a là qu’une faiblesse logi
3
usser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne
juge
pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas, quoi qu’
4
e… Mais déjà l’homme du xviiie se réveille et se
juge
ridicule : « Voilà donc à quel degré de puérilité notre superbe raiso
5
cient. À force de l’entendre répéter par les bons
juges
, on a fini par croire que le Tristan de Wagner est un drame du désir
6
pour elle-même, sans plus se référer à rien qui «
juge
» et qui « mesure » la jouissance qu’on en tire. Seul un respect acqu