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e, puis elle s’est elle-même dérobée à moi, ne me
laissant
que mon désir et mon cœur assoiffé ! Et ces deux strophes d’Arnaut D
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monde, puis s’est elle-même dérobée à moi, ne me
laissant
rien que mon désir et mon cœur assoiffé. ») Au-delà même de cet état,
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de Vérone, c’est le voile un instant déchiré, ne
laissant
au souvenir de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil
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tes du langage le font voir avec plus d’évidence.
Laissant
donc de côté les hypothèses multiples et changeantes relatives à la g