1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
1 oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
2 rme, tandis que les individus qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
3 l’amour courtois. La religion des troubadours se prêtait aux complicités les plus sournoises avec l’instinct qu’elle excitait
4 rai support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
5 ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se prêtait à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes